Vidéothèque: “Toute une histoire !”

De l’époque du Burgus de Pontius Léontius au 4ème siècle, en passant par le moyen âge et le siècle dernier, le port de Bourg a connu une intense activité.

Un lieu ou vous aurez envie de revenir ! Que ce soit pour se connecter à la nature ou pour des activités physiques, cet espace invite vraiment au calme et à la sérénité. Pour les plus aventuriers, des sentiers longent une falaise de calcaire ou l’on a l’impression d’être en milieu équatorial. Son caractère sauvage permet un dépaysement total et on en ressort en pleine forme !

Cet ancien parachutiste devenu conseiller municipal à Cubzac-les-Ponts n’a pas le vertige quant il nous parle de ces constructions hors du commun ! Découvrez l’œuvre de Gustave Eiffel sous un autre éclairage.

Découvrez ce petit manoir et son théâtre de verdure. Le castel de la fin du XVe a appartenu à plusieurs propriétaires avant d’accueillir de jeunes artistes en herbes.

L’orgue de Bourg, un joyeau dans l’église St Géronce Historique: En 1861, Georges Wenner et Jean-Jacob Götty livrent un orgue de 2 claviers (G.O. de 54 notes – Récit expressif de 37 notes) et un pédalier rudimentaire de 18 notes. Cet instrument parlait avec seulement 13 jeux. La console était en fenêtre.

En 1884, Gaston Maille modifie l’instrument, refait la façade avec des tuyaux de Wenner, augmente les pressions et installe une console dans un meuble indépendant. Bricolé dans les années 70-80, il fut pillé et abandonné peu à peu. En 1993, les facteurs landais Pellerin & Uys restaurent l’instrument qui est inauguré par Daniel Matrone le 24 septembre de la même année. Composition: Buffet en sapin de style néoroman composé de 5 plates-faces garnies de tuyaux en étain. Console séparée. 2 claviers (G.O. de 54 notes – Récit expressif de 37 notes) et un pédalier de 27 notes en tirasse fixe G.O. Transmissions mécaniques.

Source AOSPB http://aospb.blogspot.fr/p/orgue-wene…

Découvrez comment cet instrument ingénieux produit des sons ! On pourrait à priori penser que faire sonner un son dans un tube est simple, mais il s’agit en fait d’un ensemble de lois physiques, acoustiques et mathématiques qui doivent se marier pour produire des sonorités aussi riches que surprenantes. On parle alors d’onde entière, d’octave, de résonateur ! Mais pas d’inquiétudes, Floriane Guiet vous expliquera cela comme à un enfant de 8 ans !

Le Pôle de la Mémoire Locale du Bourgeais s’intéresse dans ce 1er numéro de “lieu-dit” à l’ancien cinéma de Bourg, aujourd’hui fermé. Une partie de cet ancien cinéma est occupé par le Point Rencontre Jeunes. L’occasion était trop belle de faire se rencontrer les jeunes occupants avec leurs ainés, anciens occupants des lieux. Comment était-il animé autre fois ? Qu’est-ce qu’on y faisait ? Qu’est-il devenu ? Une rencontre riche en émotion à retrouver dès maintenant.

Découvrez le sommet de Haute-Gironde avec ses moulins et sa vue unique.

Musique: extrait du David Bonnet Quintet – STUDIO EMIC CDC du Grand Cubzaguais

Il n’y a pas si longtemps, notre contrée vivait au rythme des saisons, au pas des chevaux et du travail de ses mains. L’économie des bourgs et villages tournait toute entière autour du travail de la terre. Dans chaque village, plusieurs artisans pouvaient exercer la même activité sans se concurrencer car il y avait du travail pour tous.

Lorsqu’une roue de charrette était usée, avant de la changer, il fallait vérifier l’état des rais et de la jante et la bonne tenue du bandage. On n’hésitait pas à retailler le bois, reforger le fer…. On ne jetait pas, on recyclait déjà à l’époque. Beaucoup de ces métiers ont disparu avec le déclin du cheval lors de l’apparition des tracteurs, fabriqués hors des villages. 

La main d’œuvre était peu onéreuse mais les produits fabriqués duraient peu et exigeaient des soins constants. Par exemple, pour les chevaux il fallait changer leur fer au moins quatre fois par an, ce qui donnait une charge de travail au maréchal Ferrand assez conséquente. Dans certains villages, on pouvait compter jusqu’à 200 chevaux.

L’association des Médiévales remercie tous les partenaires, commerçants, artisans, artistes, vignerons qui soutiennent la fête des médiévales en troque sel. L’association remercie également les participants qui améliorent l’ambiance de la fête en se costumant. Nous remercions aussi tous les visiteurs venus parfois de loin qui, par leur participation, permettent aux Médiévales en Troque Sel de traverser le temps…

L’association des Médiévales remercie tous les partenaires, commerçants, artisans, artistes, vignerons qui soutiennent la fête des médiévales en troque sel. L’association remercie également les participants qui améliorent l’ambiance de la fête en se costumant. Nous remercions aussi tous les visiteurs venus parfois de loin qui, par leur participation, permettent aux Médiévales en Troque Sel de traverser le temps…

Les chroniques bourquaises sont animées par la Compagnie Imagine et des amateurs réunis pour la restitution. Cette action est portée par le Syndicat d’initiative de Bourg.

Attention, en raison de la taille et de la durée du média, il n’est pas possible de faire une lecture “agréable” en plein écran.

Léguée aux élèves de la commune de Teuillac, cette maison est aujourd’hui un véritable espace culturel… Résidence de René Hourtic et de son épouse, ce lieu représente le passage d’un enseignant haut en couleur, bercé par le courant de Celestin Freinet. Ce document vous offre une visite de ce lieu en compagnie d’un ancien élève du maître, livrant à cette occasion, quelques anecdotes…

Exceptionnel et émouvant témoignage de l’éveil artistique de l’humanité, ce lieu renferme encore bien des secrets… Vous n’assisterez pas à une visite virtuelle de la grotte, ni même à une description scientifique des représentations dans ce reportage.

En effet, berceau de l’art pariétal, Pair-non-Pair se visite en mobilisant tous ses sens. Il s’agit d’une expérience humaine, d’une rencontre avec l’histoire de l’humanité. Aussi, cette courte vidéo se veut synthétique et globale.

Elle se donne pour objectif de renseigner ceux qui croient connaître la grotte, ceux qui découvrent le nom, et ceux qui ne seront pas déçus d’y revenir, même 15 ou 20 ans après leurs premiers pas vers François Daleau !