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Naissance d'une vigne, le premier pied...

Les Romains qui avaient déjà compris que la richesse des sols, le climat et l’exposition des terres sur la rive droite du fleuve étaient propices à l’implantation du vignoble, plantèrent le premier plan de « Vitis Biturica , ancêtre du Cabernet.

Jusqu’au IXème siècle, le commerce du vin se développa considérablement. 

En raison de sa position stratégique, la ville de Bourg par exemple fut convoitée et sujette aux invasions jusqu’au XIIIème siècle.

Le vin est semblable à l’homme : on ne saura jamais jusqu’à quel point on peut l’estimer et le mépriser, l’aimer et le haïr, ni de combien d’actions sublimes ou de forfaits monstrueux il est capable.
Citation de Charles BAUDELAIRE (Extrait de Les paradis artificiels)

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Vigne, terroir et géologie...

Pour une bonne croissance, la vigne a besoin de lumière (exposition), de gaz carbonique (fabrication de sucres par photosynthèse), d’oxygène (pour la respiration), d’eau et de sels minéraux (sous forme de solutions aqueuses) issus du sol et du sous-sol (terroir).

Si l’appellation Côtes de Bourg se détermine majoritairement par des terroirs globalement argilo-calcaires, leur composition est si riche qu’on parle d’une véritable mosaïque des sols composés de grave et de sable aux alentours de Pugnac. Si ces camaïeux de sols expliquent l’emploi du terme de macro terroir, trois d’entre eux sont dominants. Tout d’abord, les sols sur limons quaternaires, très spécifiques à la région et situés sur les hauteurs, ils sont de couleur rouge terre de Sienne où le merlot et le malbec son largement cultivés. Les sols sur graves sablo-argileuses dominant dans l’appellation supportent l’implantation alternante de merlot et de cabernet. On note enfin la présence assez répandue de sols argilo-calcaires où le merlot est généreusement introduit.
 
Il ne faut pas trop de pluie au printemps en raison du risque mortel du gel sur les jeunes pousses. En revanche il faut de l’eau pour faire grossir les grappes en juillet- août, mais sans qu’elle séjourne trop longtemps dans le sol, d’où l’importance de la perméabilité des sols de culture.

Voyez-vous mes enfants, quand le blé est mûr, il faut le couper, quand le vin est tiré, il faut le boire.
Citation d’Alphonse DAUDET

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Les maladies de la vigne

Si au milieu du siècle, l’activité était prospère, des évènements ont petit à petit affaibli la production.
 
Les colères météorologiques passagères furent accompagnées de nouvelles maladies et d’insectes nuisibles qui s’en prirent au vignoble.

L’oïdium, fit son apparition en 1852-53. Cette maladie cryptogamique fit des dégâts importants en 1854. Le traitement par le soufre fût mis au point en 1858.
 
Le mildiou, fut apporté en France, avec des plants en provenance des Etats-Unis. Cette maladie se développe sur la feuille et sur la grappe. Elle apparut dans le Médoc en 1882. Le remède fut trouvé par hasard par un botaniste qui, pour protéger ses vignes contre les maraudeurs, avait déposé du vert de gris sur les feuilles. Il s’aperçut que les vignes qu’il avait ainsi traitées, n’étaient pas attaquées. Ce vert de gris est l’ancêtre de la bouillie bordelaise, mélange de sulfate de cuivre et de chaux, dont il fallut rechercher la proportion. En 1886, le succès était complet.
 
Le Black-rot, champignon parasite apporté par l’eau de pluie, fut également vaincu par la bouillie bordelaise (Sulfate de cuivre destiné au traitement anti-parasitaire des vignes). Ce traitement donnait au vignoble, l’été,  une coloration bleuâtre.
 
La crise phylloxérique…
Le phylloxéra, cet insecte dont le cycle biologique complexe est extrêmement rapide, atteignait successivement toutes les parties de la vigne : tubérosités sur les racines entraînant leur pourriture ; galles sur les feuilles. Un véritable fléau qui, entre 1870 et  1885, détruisit plus de la moitié des vignobles !
 
C’est un jeune élève de la première promotion de l’Institut Agronomique de Paris, qui eut l’idée de rechercher la solution à partir des greffages, mais ce fût un autre agronome qui découvrit que la vigne n’était pas attaquée par le phylloxéra lorsque le plant était composé d’un greffon européen monté sur porte-greffe américain. La reconstitution du vignoble n’était plus qu’une affaire de temps.

D’après  des notes de Pierre Boyries
 

Le vin est un professeur de goût, il est le libérateur de l’esprit et l’illuminateur de l’intelligence.
Paul Claudel

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Périodes des vendanges

• Vendanges nocturnes
Elles consistent à rentrer les raisins avant les fortes chaleurs pour préserver les arômes et limiter les risques d’oxydation.
 
• Vendanges tardives
Les raisins blancs, en maturation sur pied, sont attaqués par un champignon minuscule appelé pourriture noble qui perfore la peau du raisin, permettant ainsi l’évaporation de l’eau. Le raisin se flétrit et garde un jus très concentré, doux et fruité. Pour une quantité égale de vin,  il faut beaucoup plus de raisins.
 
Ce type de récolte demande un climat particulier, à savoir du brouillard le matin et du soleil l’après-midi. Les vendanges tardives se font durant l’hiver, parfois dans la neige, et ont besoin de  plusieurs passages de récolte, grappe par grappe, selon maturation du raisin.
 
• Vendanges vertes
L’éclaircissage des grappes se fait au début de l’été lorsque les pieds sont trop chargés afin de   favoriser la concentration des grappes restantes.
L’appétit vient en mangeant, la soif disparaît en buvant.
Citation de François RABELAIS

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Les techniques de vendanges

Autrefois traditionnellement pratiquées à la main, aujourd’hui plus de 70% de la récolte est faite à la machine, permettant ainsi un travail plus rapide pour sauver, éventuellement, la récolte en cas de pluie. Elle résout également les problèmes de pénurie et de coût d’une main d’oeuvre fiable. Cependant elle ne convient pas à toutes les vendanges (blancs liquoreux par exemple) car elle ne sait pas couper la grappe du raisin, elle l’égraine.
 
• La vinification
 
Chaque vigneron apporte sa touche personnelle, avant, pendant et après la vinification. Chaque choix dans les étapes successives de l’élaboration, a des conséquences sur  la saveur et la qualité du vin :

– l’emplacement du terroir et le choix du cépage
– le climat (et la date des vendanges)
– le type de récipient pour la fermentation et la maturation
– la température maintenue du jus de raisin pendant la fermentation
– la durée de la fermentation

L’élevage est le moment de la vie du vin entre la fin de la fermentation et la mise en bouteille. Il peut se faire en cuve neutre (inox ou céramique), en vieilles barriques de chêne (pour une oxydation lente), ou en fûts de chêne. Plus les fûts sont petits, plus le bois est neuf, plus la chauffe des douelles est toastée, et plus l’élevage impose au vin un goût marqué (caramel, vanille, pain grillé, beurre poêlé).

Nul ne peut dire qu’il existe une seule et unique méthode pour produire du vin. C’est ce qui fait son charme et son incroyable diversité. Le travail du vin exige du savoir-faire et de l’expérience. Un vigneron est non seulement un artisan mais aussi un artiste.

Source : Guide des vins de France – www.guideduvin.com

Dieu n’avait fait que l’eau, l’homme a fait le vin
Citation de Victor HUGO (extrait de La fête chez Thérèse)

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Les outils de vendanges

Les serpettes : la lame, recourbée à son extrémité, et le manche sont plus petits que ceux de la serpe. Elles permettent de détacher les grappes sans les abîmer.

Les récipients des coupeurs : sont des bacs, à l’origine en bois, puis en fer et aujourd’hui en plastique, ou des paniers en osier.

Les récipients collecteurs : sont des hottes en bois cerclées de fer, ou en osier, sanglées sur le dos du porteur. Elles peuvent contenir jusqu’à 50 kilos de raisin.

Les récipients pour le transport : sont des cuves en bois cerclé ou de grands paniers d’osier, munis de poignées, portés par deux hommes ou sur des tombereaux. On utilisait aussi, dans les vignobles situés en altitude, des outres en cuir chargées sur des animaux.
La forme, le volume et la dénomination de tous ces contenants varient d’une région viticole à l’autre. On veillait à l’étanchéité de ceux qui étaient en bois, afin de ne pas perdre le jus des raisins très murs.

Les petites presses à fouler : pour contrôler le niveau de maturité des raisins avant la vendange, c’est-à-dire la quantité de sucre contenue et le degré d’acidité, on presse des échantillons prélevés dans les vignes puis on teste la densité du moût ainsi obtenu et son acidité à l’aide de divers instruments de mesure (mustimètre ou densimètre et acidimètre).

Source : http://www.esseclive.com/elyxir/

Le vin est le lait des vieillards.
Citation de Platon

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Appellation A.O.C.

C’est la catégorie la plus élevée des vins de France.

Les AOC sont des vins dont l’élaboration est soumise à des règles strictes, déterminées par l’Institut National des Appellations d’Origine des vins et eaux-de-vie (I.N.A.O.), qui garantissent la qualité, l’authenticité et la spécificité du produit et sont homologuées par un décret du ministère de l’Agriculture.
 
Elles concernent : l’aire de production délimitée par parcelle, la nature de l’encépagement, la conduite de la vigne (méthodes de culture et de taille, densité des plantations), le rendement maximum à l’hectare, le degré alcoolique naturel minimum, les procédés de vinification et de conservation, la dégustation d’agrément obligatoire accompagnée d’une analyse chimique.
 
Ainsi, tous les facteurs qui déterminent l’authenticité et la qualité du vin, depuis la terre jusqu’au verre, sont déterminés et font l’objet d’un contrôle rigoureux.
 

Source : http:/www.cotes-de-bourg.com

Trop ou trop peu de vin interdit la vérité.
Citation de Blaise Pascal

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Les grandes étapes de la dégustation.

• L’examen visuel :
La couleur est le premier trait de séduction d’un vin. Celle-ci se nuance avec l’âge. On regarde également les larmes ou jambes présentes sur la surface du verre qui donnent une indication sur la fluidité du vin et sa richesse en alcool, glycérol, sucre. On regarde également si des dépôts (tartre…) ou troubles sont présents, et éventuellement des bulles.
 

• L’examen olfactif :
On réalise une olfaction du vin au repos, puis une après agitation du vin. L’intensité de cette impression permet de caractériser le bouquet du vin résultant du mélange des arômes présents. Les arômes les plus volatils se manifestent en premier, les moins volatils en second. L’origine des arômes provient de nombreux facteurs : cépages, vinification (odeur de souffre…), vieillissement (les fûts de chêne donnent des arômes de torréfaction…).
 
 
• L’examen gustatif :
On évalue l’acidité, l’alcool, le moelleux, et l’astringence qui est spécifique des vins rouges et qui est liée à la présence de tanins. Il en résulte une appréciation sur le “volume” en bouche. Cet examen comprend également une phase de rétro-olfaction : on identifie les arômes et on les compare à ceux identifiés lors de l’examen olfactif.

Source : http://www.esseclive.com/elyxir/

L’alcool tue lentement. On s’en fout. On n’est pas pressés.
Citation de Georges COURTELINE

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Les métiers du vin

En 1901 apparaît la première cave coopérative (regroupement de viticulteurs), avec elle de nouveaux métiers. De la vigne à la vente du vin, on ne dénombre pas moins d’une quinzaine de métiers.
 
Le plus connu est bien entendu celui de vigneron/viticulteur qui se décompose en deux fonctions différentes : viticulteur et vinificateur. Il est le chef d’exploitation, gérant ou propriétaire du domaine, chargé de maîtriser tout ce qui concerne la culture de la vigne et la transformation du raisin. Il doit aussi savoir endosser la casquette de commercial.
 
Caviste : On l’appelle « le visage pâle de la viticulture ». A l’ombre des cuves, il assure la transformation du raisin en vin. Après broyage et filtrage, il contrôle la température, la densité et choisit le moment de maturation du vin en fût. Il participe également à l’embouteillage et à l’étiquetage des bouteilles.
 
Maître de chai : il supervise les travaux dans le chai, conduit le processus de vinification, organise les vendanges, élabore et assemble les vins, vérifie l’entretien du matériel, enregistre les opérations, encadre le personnel de chai.
 
Oenologue : Il est le scientifique du vin : il conseille sur le choix des cépages, les traitements et la taille. Il intervient au moment de la vinification, fait des contrôles et analyse la fermentation, le conditionnement, la distillation etc…
 
Ouvrier viticole : C’est le spécialiste de la vigne : il taille, plante, il diagnostique les maladies et traite les plants de vignes. Il participe aux vendanges et doit savoir anticiper la météo pour éviter les mauvaises récoltes. Le métier est très physique et demande une bonne résistance aux conditions atmosphériques.
 
Tonnelier : Il assure la fabrication et l’entretien des tonneaux, des cuves et des barriques, et la mise en bouteille. Même si de plus en plus de cuves sont en métal, les fûts en bois sont toujours utilisés pour conserver des vins de qualité.
 
Sommelier
 : C’est un expert d’œnologie, viticulture et dégustation qui travaille pour une oenothèque ou pour des restaurants de haute catégorie. Il contrôle la qualité du vin et conseille les clients sur leur choix.  Il gère la cave et s’occupe de la sélection des vins.

Source: http//www.esseclive.com/elyxir/

Un peu d’amour, c’est comme un peu de bon vin…Trop de l’un ou trop de l’autre rendent un homme malade.
Citation de John Steinbeck

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La verrerie royale de Bourg

Le 19 Février 1726,  une « verrerie royale » s’installe près du port à Bourg, dans la rue qui porte actuellement le nom de « rue des verreries ».
 
Le roi autorisa, pendant une période de trente ans, la fabrication de verres de toutes sortes à l’exception de glaces. Les ouvriers verriers de Bourg avaient interdiction de quitter la verrerie pour aller travailler dans celle de Bordeaux sans  en avoir préalablement averti les employeurs un an à l’avance par acte signifié, et réciproquement.
 
Le 16 Novembre 1728, le roi autorisa à la verrerie de Bourg l’installation, au-dessus de la porte principale de l’entreprise, d’un tableau aux armes de Sa Majesté avec l’inscription   « Verrerie Royale », ainsi qu’un portier avec livrée du roi.
 
Cette verrerie changea plusieurs fois de propriétaires. L’un d’entre eux, Jean Guilhem, racheta le 15 décembre 1760 la verrerie ainsi que le Château « Mille Secousses » (1764). En 1765, il présenta une requête auprès de l’Intendant de Guyenne afin d’installer une seconde verrerie au port. Les jurats donnèrent un avis défavorable car ils constatèrent que depuis l’installation de la verrerie, quarante ans auparavant, beaucoup d’ouvriers étaient tombés malades (surtout au niveau de la poitrine) à cause des mauvaises odeurs dégagées par les fumées. Quelques mois plus tard, Jean Guilhem obtint cependant l’autorisation de monter un second fourneau.
 
Au début du XVIIIème siècle, le four de fabrication du verre fonctionne au bois puis au charbon et se décompose en deux parties.
 
Sur la partie inférieure se trouve le foyer, dont les cheminées sont très hautes, où l’on introduit le bois ou le charbon. Les flammes traversent le plafond de ce foyer par un trou central pour atteindre la partie supérieure tapissée d’argile réfractaire où sont disposés les creusets tout autour de l’ouverture. Ces creusets sont également en argile et doivent résister à des températures de 1450 à 1500°. Quatre opérations sont nécessaires pour obtenir le verre à partir du sable, de la soude et de la chaux.
 
La technique de fabrication du verre est connue depuis plus de 5000 ans. L’invention de la bouteille provoque une révolution dans l’histoire du vin. Grâce à elle, on s’est rendu compte que le vin pouvait vieillir et ainsi se bonifier.
Les verreries disparurent peu après la Révolution.

Source : Maufras – Histoire de la ville de Bourg

Le vin est fort, le roi est plus fort, les femmes le sont plus encore.
Citation de Martin Luther

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La connétablie de Guyenne

Historique
La Connétablie de Guyenne dont le siège se situe à l’origine au Château Ducal d’ Epernon, est la 3ème Confrérie Vineuse crée à Bordeaux en 1952 à la suite de la jurade de St Emilion (1948) et du Bontemps Médoc (1950). Son territoire s’étend sur 5 appellations Côtes de Bordeaux, Côtes de Bourg, Premières Côtes de Blaye, Entre-Deux-Mers et Graves de Vayres, disposant chacune d’une section Connétablie avec les mêmes costumes et les mêmes rites.

Le mot ” Connétablie ” a ressuscité le titre -sinon les fonctions- de la très ancienne institution bordelaise, remontant à l’époque où la Guyenne fut rattachée à la Couronne de France, puis à celle d’Angleterre, par les mariages successifs d’Eléonore d’Aquitaine (1122-1204), et enfin, à nouveau la France après la guerre de Cent ans (Bataille de Castillon de 1453).
Le Grand Connétable gardait le Château de l’Ombrière, dont la masse imposante, aujourd’hui disparue, s’élevait à l’embouchure du Peugue, se jetant dans la Garonne. C’était le centre administratif de l’époque : armée, trésor, douane. On peut imaginer par exemple une brigade de Connétables contrôlant sur le port le contenu des barriques de vin, à l’aide de leur ” Velte ” (mesure spéciale servant à calculer le volume).

Les Connétables délivraient un acquit à accrocher au mât du bateau : c’était une branche de Cyprès (dont la forêt a aussi disparu. Il reste cependant un témoin :  La petite chapelle ” du Cypréssat “, visible à Bordeaux au bout de l’avenue Thiers au pied de la colline de Cenon).

La Confrérie
La Confrérie a adopté l’uniforme des Connétables, la robe noire des Clercs dont l’austérité a été agrémentée de parements en forme de croix: rouges pour le vin rouge et jaunes pour le vin blanc.

Le chapeau rappelle la coiffure de Louis XI avec une cordelette rouge et jaune tressée en coquille Saint Jacques. Une médaille aux armes de Guyenne est pendue sur la poitrine. Une épaulette est agrafée sur l’épaule gauche portant discrètement mentionné le nom de l’appellation.

La cérémonie
Un Grand chapitre solennel est organisé chaque année à date fixe.
– Le cortège se forme précédé par la bannière de la Connétablie et par une sonnerie de Cors de chasse.
– Le Grand Maître ouvre la manifestation. Le Chancelier lit la Charte.
– Le maître de requête fait l’éloge des impétrants, que les Connétables s’apprêtent à accueillir.
– L’officier Jaugueur les adoube avec la Velte sacrée et les invite à vider la Coupe de loyale et sincère amitié.
– Suivent la remise de la médaille, du diplôme et de la signature du Livre d’Or.
– Après la clôture du chapitre l’assistance est conviée au Banquet où vont figurer les vins de l’appellation.

Intronisation
Toute personne justifiant d’un grand intérêt pour nos vins des Côtes de Bourg peut-être intronisée à la demande d’un membre de la Connétablie qui lui servira de parrain.

En dehors du Chapitre annuel, la Connétablie organise des chapitres exceptionnels lors de manifestations de prestige, en présence de personnalités ayant un lien avec les Côtes de Bourg, valorisant ainsi la promotion de l’appellation, tant en France qu’à l’étranger.

Source: http://www.cotes-de-bourg.com

Il y a davantage de philosophie et de sagesse dans une bouteille de vin que dans tous les livres.
Citation de Louis Pasteur